비용의 『유언의 노래』 읽기: 8행시 CLI-CLIV를 중심으로

Abstract

La présente étude a pour objet de porter une réflexion sur la microstructure du Testament de François Villon, en examinant les relations des huitains CLI-CLIV qui forment une 《séquence》. Après avoir dédié une ballade à la Grosse Margot, Villon laisse son legs à deux filles de son espèce, Marion et Jeanne. Il leur donne le soin de tenir une école publique où l’écolier enseigne le maître. Bien évidemment, l’enseignement de l’école publique de prostitution n’est rien d’autre qu’une leçon de la belle Heaumière. Par l’association des idées, Villon relie l’école d’Amour au châtiment d’amour dans le huitain CLII. Villon inflige en public une sévère correction à Noël Jolis, en liant l’amour à la douleur. Le malheureux doit aller à l’Hôtel-Dieu pour retrouver la santé. Mais il n’y a plus aucun espoir pour ce grand malade qui veut manger d’une oie imaginaire. Comme le fait Pathelin avec le drapier, Villon ne donne rien à l’Hôtel-Dieu. Et la cure du barbier-chirurgien qui est proche voisin de l’herboriste, se révéla peu efficace, comme le vent froid de nord-ouest(galerne) qui fait geler les vignes. Ainsi, contrairement à l’opinion de Rychner et Henry, les huitains CLII-CLIV du Testament ne font pas figure d’isolés. En gardant la linéarité des idées, les huitains problématiques nous montrent des effets néfastes provenant d’un 《amour singulier》,