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파스칼의 “내기논증”의 “이면” 연구Etude sur «le revers du raisonnement» dans le pari de Pascal

Other Titles
Etude sur «le revers du raisonnement» dans le pari de Pascal
Authors
김화영
Issue Date
2009
Publisher
프랑스문화예술학회
Keywords
파스칼; 팡세; 내기논증; 산술삼각형; 우연의 기하학; Pascal; Pensées; Raisonnement du pari; Triangle arithmétique; Géométrie du hasard
Citation
프랑스문화예술연구, v.27, pp.93 - 119
Indexed
KCI
Journal Title
프랑스문화예술연구
Volume
27
Start Page
93
End Page
119
URI
https://scholar.korea.ac.kr/handle/2021.sw.korea/121684
DOI
10.21651/cfaf.2009.27..93
ISSN
1229-5574
Abstract
Le fragment 680 connu par “raisonnement du pari” est largement connu par une idée merveilleuse que l'auteur Pascal s'adapte au fondement de sa théorie des probabilités en retrouvant sa méthode de la persuasion logique. L'élément non-raisonnable qui s'appelle ‘le hasard’ est entré dans la catégorie mathématique définie le concept des probabilités. Il est bien significatif d'expliquer la dimension surnaturelle par cette théorie. Cependant, c'est l'un des fragments bien célèbres dans Les Pensées, en même temps, c'est un fragment qui produit des critiques les plus nombreuses. Même s'il y a l'explication importante sur le “Discours de la machine” et le mot-clé “infini rien”, ce qui éveille en nous des résonances profondes, c'est “le pari”, cet unique article qui représente tout le fragment. Loin de la compréhension sur la logique de tout le fragment, l'intérêt qui domine sur “le pari” cause de nombreux malentendus et critiques au cœur duquel se situent Voltaire, Valéry et Goldmann. Ce sont eux qui ont posé des problèmes au point de vue superficiel ; une idée ou perspective partielle dans et par le “raisonnement du pari”, c'est-à-dire ses résultats mathématiques. C'est en ce sens que notre travail, afin de controverser une telle série de malentendus et de critiques, est concentré sur le dessein de Pascal qui n'a pas oublié la non-utilité de la théorie du pari. Le “raisonnement du pari” est un procédé capable de proposer le pari au niveau de la foi par la logique de la raison et sa méthode devant les problèmes qui ne se résouent point par le jugement de la raison. Effectivement, il s'agit là plutôt de comprendre ce que l'existence du Dieu par le langage mathématique est au dessein d'expliquer la croyance par la logique d'intérêt du monde. C'est pourquoi il est nécessaire de savoir ce que le but du pari est de donner aux gens en dehors de la religion, l'opportunité de penser sincèrement à ce problème. Ce que Pascal indique clairement la limite du pari, c'est la clé capital qui fait comprendre du renvers du raisonnement. Cela permet seulement d'appeler la persuasion de la raison, mais nous ne pouvons pas obtenier la persuasion de la volonté. En acceptant la non-utilité du pari, Pascal préconise la pratique de “l'auto-mécanique” pour la décision des athées. Il dit ainsi ; «Travaillez donc, non pas à vous convaincre par l'augmentation des preuves de Dieu, mais par la diminution de vos passions.» Telle remarque que Pascal a faite mérite réflexion sur la puissance de ‘la coutume’, autrement dit notre 'deuxième nature'. L'automate d'après la coutume permet de s'incliner à la foi, sans violence, sans argument. C'est une autre méthode qui ressuscite la volonté déchue.
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